La Planète des singes
Posté: Dim 11 Déc 2011 11:52
Gamin, j’ai lu le livre (La Planète des singes)
En une nuit aspirer par l’histoire
Je suis encore dedans 40 ans après
Comme si c’était hier
Les films sont Top, surtout le premier avec charleston Heston
Inoubliable pour ma génération
Je viens de voir le 4 volet en blue
Excellent
Je recommande nous avons passé
Une très bonne soirée en famille
Et puis le numérique capture motion
C’est le pied César est plus vrai que nature
D’ailleurs l’acteur avatar
Faisait aussi le Golum
4 film fidel à la philosophie de l’auteur pierre Boulle
Français, car peu de monde le sait
Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d'Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d'augmenter radicalement l'activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d'une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l'entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l'Homme dans un combat spectaculaire.
Pierre Boulle
Son père, un avocat excentrique, écrit sur le théâtre dans un journal, avant d'épouser la fille du directeur de ce journal, Thérèse, sage et très catholique. Pierre a une grande complicité avec son père. Tous deux adorent la littérature, les livres, la chasse et les jeux. Rien ne trouble l'enfance tranquille que Boulle a passé en famille avec ses sœurs Suzanne et Madeleine, pas même la Première Guerre mondiale. Vers la fin de la guerre, en 1918, il entre au lycée d'Avignon. Soudain, c'est le drame : son père meurt d'une maladie du cœur en 1926. L'adolescent est malgré lui projeté dans le monde adulte. Finis, la chasse, les jeux et même l'amour des livres. Son but désormais est de devenir ingénieur avec une formation (Supélec), pour aider sa mère. À 24 ans, Boulle se retrouve dans la forêt tropicale de Malaisie, à 50 kilomètres de Kuala Lumpur, la capitale. Pendant trois ans, il travaillera comme un forcené, loin de l'Europe.
En 1939, la Seconde Guerre mondiale ravage le monde. En 1941, Boulle, qui est toujours en Asie, rejoint la France libre à Singapour où il devient officier de liaison (sous-lieutenant) du commandant Baron, responsable de la France Libre auprès des Britanniques. Après un entraînement spécial et muni d'un faux passeport anglais, sous l'identité de Peter John Rule, il part en mission contre les Japonais, alliés des Allemands2. En 1942 il est capturé par des militaires français du gouvernement de Vichy qui le condamnent aux travaux forcés à perpétuité. Deux ans plus tard, en 1944, il parvient à s'évader de Saïgon et rejoint la Force 136 du SOE en Asie du Sud-Est à Calcutta.
Après la guerre, lorsqu'il retrouve la France libérée par le général de Gaulle et les Forces françaises libres, on le couvre de médailles pour ses exploits. En 1950, il se décide à écrire des romans, et c'est ainsi qu'il publie un roman d'aventures, Le Pont de la rivière Kwai en 1952 et un roman de science-fiction, La Planète des singes en 1963.
Il meurt le 31 janvier 1994.
Accueil et perception de son œuvre[modifier]
William Conrad, son premier roman est publié en 1950. Il avait 38 ans et aucune formation littéraire, mais l'histoire d'agents secrets de Boulle a une aura d'authenticité qui séduit la critique.
Deux des romans de Pierre Boulle connurent une notoriété mondiale, grâce à leurs adaptations cinématographiques : Le Pont de la rivière Kwaï et La Planète des singes (1963) et à leur traduction en langue anglaise par Xan Fielding, ancien officier du Special Operations Executive pendant la guerre 1939-45.
Le Pont de la rivière Kwaï a obtenu le Prix Sainte-Beuve en 1952. Inspiré d'une période de sa vie d'engagé dans les FFL, le roman et le film de 1957 de David Lean, ont assuré la célébrité de Pierre Boulle.
Le photographe a été adapté au cinéma par Jean-Claude Tramont sous le titre Le point de mire en 1977.
En 1976, pour l'ensemble de son œuvre, Pierre Boulle reçut le Grand Prix de la Société des gens de lettres.
Pierre Boulle fut, avec Jacques Spitz et René Barjavel mais après José Moselli, un des pionniers de la science-fiction française. Dans une histoire écrite en 1949, Une Nuit Interminable, publiée dans le recueil Contes de l'absurde (1953), Pierre Boulle joue avec les paradoxes temporels, à la manière d'un Barjavel dans Le Voyageur Imprudent, faisant preuve d'un étonnant modernisme. Ce recueil est par ailleurs le premier recueil de nouvelles de science-fiction françaises.
Il est l'un des auteurs français les plus traduits et les plus connus à l'étranger, plus particulièrement aux États-Unis où ses romans connurent un grand succès, dopés par les adaptations cinématographiques du Pont de la rivière Kwaï et de la Planète des Singes. Il fut ainsi l'objet d'une étude littéraire, Pierre Boulle de Lucille Frackman Becker, parue chez Twayne Publishers et jamais traduite en français.
Par exemple, dans la série télévisée dérivée d'X-Files The Lone Gunmen - Au cœur du complot, dans l'épisode Planet of the Frohikes, on trouve le Boulle Behavioral Institute, en hommage à l'auteur de science-fiction français. Par ailleurs, dans l'épisode 4 de la première saison de X-Files (le Diable du New Jersey), un ranger s'appelle Peter Boulle.
La Planète des Singes[modifier]
La Planète des singes, qui est constitué aujourd'hui comme un classique de la science-fiction et le livre le plus important de l'auteur français, connut un grand succès à sa sortie en 1963. Dès 1968, le livre connu sept adaptations cinématographiques américaines (dont la dernière en 2011), une série télévisée et d'innombrables séries de bande dessinées.
Dans le roman original, le professeur Antelle organise une mission à destination de l’étoile Bételgeuse. Accompagné du physicien Levain et du journaliste - et héros de l'histoire - Ulysse Mérou, le professeur découvre une planète semblable à la Terre et décide de l'explorer. Ils découvrent alors avec horreur qu'elle est dominée par des primates chassant les hommes comme des bêtes sauvages...
Aucune des adaptation n'a jamais été vraiment fidèle à la version de Pierre Boulle. Elles sont plutôt spectaculaires et "réalistes", alors que le roman est plutôt à prendre au second degré (les singes conduisent des avions, jouent au golf...). La saga des années 70 met en avant les dangers de la Guerre nucléaire, très en vogue à l'époque dans le cinéma américain. Trois américains échouent sur la Terre du futur après avoir traversé le temps lors d'un voyage spatial. L'astronaute Taylor découvre alors que les singes intelligents ont pris le contrôle de la planète après une Guerre qui transforma les continents en déserts, et l'Homme en un être inférieur et muet...
Dans le film de 2001 réalisé par Tim Burton, une station spatiale s'écrase sur une planète inconnue et des primates, utilisés pour le vol spatial habité, se rebellent contre les survivants humains pour ériger leur propre civilisation. Des siècles plus tard, Léo Davidson, un astronaute qui faisait partie de la station et qui a traversé le temps, se retrouve prisonnier des singes et tente de s'échapper...
Dans La Planète des singes : Les Origines de 2011, un laboratoire développe un remède contre la maladie d'Alzheimer en testant un rétrovirus sur des singes. Le virus, mortel pour l'Homme, décuple l'intelligence d'un chimpanzé qui mène alors ses semblables à la révolte...
Si l'on devait comparer les différentes adaptations, c'est la version de Tim Burton (2001) qui serait la plus proche de la vision du roman. Tout comme dans le livre original, l'action se passe sur une planète inconnue, et non la Terre. Et lorsque le héros rejoint la Terre à la fin du film, c'est pour découvrir que, par une anomalie temporelle inexpliquée, cette dernière est dominée par des singes (comme dans le roman).
En une nuit aspirer par l’histoire
Je suis encore dedans 40 ans après
Comme si c’était hier
Les films sont Top, surtout le premier avec charleston Heston
Inoubliable pour ma génération
Je viens de voir le 4 volet en blue
Excellent
Je recommande nous avons passé
Une très bonne soirée en famille
Et puis le numérique capture motion
C’est le pied César est plus vrai que nature
D’ailleurs l’acteur avatar
Faisait aussi le Golum
4 film fidel à la philosophie de l’auteur pierre Boulle
Français, car peu de monde le sait
Dans un laboratoire, des scientifiques expérimentent un traitement sur des singes pour vaincre la maladie d'Alzheimer. Mais leurs essais ont des effets secondaires inattendus : ils découvrent que la substance utilisée permet d'augmenter radicalement l'activité cérébrale de leurs sujets. César, est alors le premier jeune chimpanzé faisant preuve d'une intelligence remarquable. Mais trahi par les humains qui l'entourent et en qui il avait confiance, il va mener le soulèvement de toute son espèce contre l'Homme dans un combat spectaculaire.
Pierre Boulle
Son père, un avocat excentrique, écrit sur le théâtre dans un journal, avant d'épouser la fille du directeur de ce journal, Thérèse, sage et très catholique. Pierre a une grande complicité avec son père. Tous deux adorent la littérature, les livres, la chasse et les jeux. Rien ne trouble l'enfance tranquille que Boulle a passé en famille avec ses sœurs Suzanne et Madeleine, pas même la Première Guerre mondiale. Vers la fin de la guerre, en 1918, il entre au lycée d'Avignon. Soudain, c'est le drame : son père meurt d'une maladie du cœur en 1926. L'adolescent est malgré lui projeté dans le monde adulte. Finis, la chasse, les jeux et même l'amour des livres. Son but désormais est de devenir ingénieur avec une formation (Supélec), pour aider sa mère. À 24 ans, Boulle se retrouve dans la forêt tropicale de Malaisie, à 50 kilomètres de Kuala Lumpur, la capitale. Pendant trois ans, il travaillera comme un forcené, loin de l'Europe.
En 1939, la Seconde Guerre mondiale ravage le monde. En 1941, Boulle, qui est toujours en Asie, rejoint la France libre à Singapour où il devient officier de liaison (sous-lieutenant) du commandant Baron, responsable de la France Libre auprès des Britanniques. Après un entraînement spécial et muni d'un faux passeport anglais, sous l'identité de Peter John Rule, il part en mission contre les Japonais, alliés des Allemands2. En 1942 il est capturé par des militaires français du gouvernement de Vichy qui le condamnent aux travaux forcés à perpétuité. Deux ans plus tard, en 1944, il parvient à s'évader de Saïgon et rejoint la Force 136 du SOE en Asie du Sud-Est à Calcutta.
Après la guerre, lorsqu'il retrouve la France libérée par le général de Gaulle et les Forces françaises libres, on le couvre de médailles pour ses exploits. En 1950, il se décide à écrire des romans, et c'est ainsi qu'il publie un roman d'aventures, Le Pont de la rivière Kwai en 1952 et un roman de science-fiction, La Planète des singes en 1963.
Il meurt le 31 janvier 1994.
Accueil et perception de son œuvre[modifier]
William Conrad, son premier roman est publié en 1950. Il avait 38 ans et aucune formation littéraire, mais l'histoire d'agents secrets de Boulle a une aura d'authenticité qui séduit la critique.
Deux des romans de Pierre Boulle connurent une notoriété mondiale, grâce à leurs adaptations cinématographiques : Le Pont de la rivière Kwaï et La Planète des singes (1963) et à leur traduction en langue anglaise par Xan Fielding, ancien officier du Special Operations Executive pendant la guerre 1939-45.
Le Pont de la rivière Kwaï a obtenu le Prix Sainte-Beuve en 1952. Inspiré d'une période de sa vie d'engagé dans les FFL, le roman et le film de 1957 de David Lean, ont assuré la célébrité de Pierre Boulle.
Le photographe a été adapté au cinéma par Jean-Claude Tramont sous le titre Le point de mire en 1977.
En 1976, pour l'ensemble de son œuvre, Pierre Boulle reçut le Grand Prix de la Société des gens de lettres.
Pierre Boulle fut, avec Jacques Spitz et René Barjavel mais après José Moselli, un des pionniers de la science-fiction française. Dans une histoire écrite en 1949, Une Nuit Interminable, publiée dans le recueil Contes de l'absurde (1953), Pierre Boulle joue avec les paradoxes temporels, à la manière d'un Barjavel dans Le Voyageur Imprudent, faisant preuve d'un étonnant modernisme. Ce recueil est par ailleurs le premier recueil de nouvelles de science-fiction françaises.
Il est l'un des auteurs français les plus traduits et les plus connus à l'étranger, plus particulièrement aux États-Unis où ses romans connurent un grand succès, dopés par les adaptations cinématographiques du Pont de la rivière Kwaï et de la Planète des Singes. Il fut ainsi l'objet d'une étude littéraire, Pierre Boulle de Lucille Frackman Becker, parue chez Twayne Publishers et jamais traduite en français.
Par exemple, dans la série télévisée dérivée d'X-Files The Lone Gunmen - Au cœur du complot, dans l'épisode Planet of the Frohikes, on trouve le Boulle Behavioral Institute, en hommage à l'auteur de science-fiction français. Par ailleurs, dans l'épisode 4 de la première saison de X-Files (le Diable du New Jersey), un ranger s'appelle Peter Boulle.
La Planète des Singes[modifier]
La Planète des singes, qui est constitué aujourd'hui comme un classique de la science-fiction et le livre le plus important de l'auteur français, connut un grand succès à sa sortie en 1963. Dès 1968, le livre connu sept adaptations cinématographiques américaines (dont la dernière en 2011), une série télévisée et d'innombrables séries de bande dessinées.
Dans le roman original, le professeur Antelle organise une mission à destination de l’étoile Bételgeuse. Accompagné du physicien Levain et du journaliste - et héros de l'histoire - Ulysse Mérou, le professeur découvre une planète semblable à la Terre et décide de l'explorer. Ils découvrent alors avec horreur qu'elle est dominée par des primates chassant les hommes comme des bêtes sauvages...
Aucune des adaptation n'a jamais été vraiment fidèle à la version de Pierre Boulle. Elles sont plutôt spectaculaires et "réalistes", alors que le roman est plutôt à prendre au second degré (les singes conduisent des avions, jouent au golf...). La saga des années 70 met en avant les dangers de la Guerre nucléaire, très en vogue à l'époque dans le cinéma américain. Trois américains échouent sur la Terre du futur après avoir traversé le temps lors d'un voyage spatial. L'astronaute Taylor découvre alors que les singes intelligents ont pris le contrôle de la planète après une Guerre qui transforma les continents en déserts, et l'Homme en un être inférieur et muet...
Dans le film de 2001 réalisé par Tim Burton, une station spatiale s'écrase sur une planète inconnue et des primates, utilisés pour le vol spatial habité, se rebellent contre les survivants humains pour ériger leur propre civilisation. Des siècles plus tard, Léo Davidson, un astronaute qui faisait partie de la station et qui a traversé le temps, se retrouve prisonnier des singes et tente de s'échapper...
Dans La Planète des singes : Les Origines de 2011, un laboratoire développe un remède contre la maladie d'Alzheimer en testant un rétrovirus sur des singes. Le virus, mortel pour l'Homme, décuple l'intelligence d'un chimpanzé qui mène alors ses semblables à la révolte...
Si l'on devait comparer les différentes adaptations, c'est la version de Tim Burton (2001) qui serait la plus proche de la vision du roman. Tout comme dans le livre original, l'action se passe sur une planète inconnue, et non la Terre. Et lorsque le héros rejoint la Terre à la fin du film, c'est pour découvrir que, par une anomalie temporelle inexpliquée, cette dernière est dominée par des singes (comme dans le roman).