Ford Mustang 1964-2013
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Ford Mustang 1964-2013
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la-loutre
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SASOUKY74 a écrit:
Un mythe,elle a subit la gloire des préparateurs et a connue les gloires des podiums .
Sont emblème le cheval sauvage de race "Mustang"
"the Stang" très populaire aux USA,très longue alors si vous désirez plus de renseignements sur la production voici le lien"Wikipédia"
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ford_Mustang
Quelques photos toutes génération confondues(je n'ai pas posté volontairement de photos de Mustang des années "80" car elles ne sont pas jolis à mes yeux)
Et la légende continue...........................
Sont emblème le cheval sauvage de race "Mustang"
"the Stang" très populaire aux USA,très longue alors si vous désirez plus de renseignements sur la production voici le lien"Wikipédia"
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ford_Mustang
Quelques photos toutes génération confondues(je n'ai pas posté volontairement de photos de Mustang des années "80" car elles ne sont pas jolis à mes yeux)
Et la légende continue...........................
Fondateur de Ferrari Modelisme - www.ferrari-modelisme.com
Président de l'association Rosso18 - www.rosso18.com
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la-loutre
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Dark a écrit:
que du bonheur pour cette LEGENDE CAR .
Merci sasa heu celle de Steve elle est ou tu merites une... bullitt ...en plein frond
La course-poursuite
Réplique la Ford Mustang GT Fastback de 1968
Cette scène fait désormais partie des classiques du cinéma américain. Elle constitue la première course-poursuite en voiture digne de ce nom (Dodge Charger R/T '68 et Ford Mustang Fastback GT390 de 1968, debadgée par Carroll Shelby à la demande de Steve McQueen) de l'histoire du cinéma ; elle parvient à se démarquer de celles qui l'ont suivie par un réalisme saisissant grâce à un positionnement judicieux des angles de vue.
Le lieutenant Bullitt se rend compte qu'il est suivi par une autre voiture alors qu'il mène son enquête dans San Francisco. On pourrait donc s'attendre à ce qu'il joue le rôle du poursuivi dans la scène de course-poursuite qui va suivre, mais c'est tout le contraire qui se produit. Bullitt, malin, parvient à échanger les rôles et c'est désormais lui qui traque les deux tueurs à gage dans une course-poursuite qui dure près de dix minutes et qui pour la Charger se terminera dans une station-service pour y partir en fumée....
Le réalisateur parvient à intégrer le spectateur en lui faisant adopter le point de vue du pilote, à la manière d'une vue subjective d'un jeu vidéo. À cela s'ajoute le travail sur le son : lors des plans embarqués, le bruit du moteur de la Dodge (sourd et mat) et celui de la Mustang (pétaradant et plus aigu) sont sensiblement différents, ce qui produit deux ambiances distinctes à l'intérieur de chaque engin. La scène gagne donc un certain cachet de réalisme que l'on a du mal à retrouver dans des scènes de courses-poursuites plus modernes. Les plans extérieurs aux deux voitures sont relativement larges, ce qui permet de mieux appréhender l'ampleur de l'action : les virages qui font crisser les pneus, les sauts dans les pentes des rues de San Francisco, les dépassements tôle contre tôle sur l'autoroute, rien n'est truqué mais contrairement à la croyance populaire, ce n'est pas Steve McQueen seulement qui conduit lors du tournage de cette scène (les compagnies d'assurance ont catégoriquement refusé), mais aussi Bud Ekins qui lui même fait le saut à moto dans la grande évasion1.
La scène est émaillée de faux-raccords : on peut voir que la même scène est repassée plusieurs fois (le moment où ils doublent une Coccinelle verte dans une descente), mais dans des plans différents. Par ailleurs, le nombre d'enjoliveurs de la Dodge varie de façon curieuse : 4 au début, puis 3 puis 2 (après les pertes consécutives d'un enjoliveur au cours de virages serrés dans les rues de San Francisco) puis de nouveau 3 et enfin 4 lorsque la Dodge va percuter la station-service.
Cependant les paysages connus défilent en arrière-plan d'une façon hallucinante : quartiers de Potrero Hills au début de la course, puis les 2 bolides s'envolent dans les rues de Russian Hills et Marina District, puis des lieux complêtement à l'opposé de Frisco alternent, créant une ambiance surréaliste; et on reconnait au passage, silhouettés sur la baie de San Francisco, l'île d'Alcatraz, et la célèbre Coit Tower près de l'église St-Pierre & St-Paul...
Contrairement aux scènes de poursuite comme celles de Duel (Steven Spielberg, 1971) ou des Blues Brothers (John Landis, 1980) qui utilisent des voitures familiales,(Plymouth Valiant, Dodge Monaco) la Ford Mustang Fastback GT '68 (V8 de 390 ci, immatriculée JJZ 109) de Bullitt et la Dodge Charger R/T 1968 (V8 440 ci, soit 7,2 litres, immatriculée RDR 838) des tueurs sont de vrais bolides.
On notera également l'usage très judicieux de la musique de Lalo Schifrin. D'abord répétitive et se tendant à la manière d'un ressort avec des pompes de sections de cuivre de plus en plus entêtantes, obsédantes, dès la mise en train des futurs poursuivants, elle se fait feulement quand l'inversion se produit et que de gibier McQueen se fait chasseur, ce dans le célébrissime plan de rétroviseur où la Mustang apparait comme fondue au ciel, mélange d'élégance et de menace. Puis, une fois que les deux tueurs ont aperçu leur proie postée désormais sur leurs talons et qu'ils engagent leur fuite faisant hurler pneumatiques et moteur, la bande son laisse toute la place aux rageurs bruits mécaniques des deux bolides, immiscent juste quelques bribes de trafic quand les deux véhicules manquent se heurter aux autres usagers.
1968 Mustang 390 GT Bullit
Mais comment cette voiture, est-elle entrée dans l'histoire ? Tout est parti en fait d'une colère de Steve McQueen, qui était aussi le producteur du film Bullit .
L'acteur avait en effet demandé un soutien à Ford mais le constructeur américain préféra se désengager du projet.
Du coup, McQueen décida en réaction de retirer tous les signes distinctifs de la voiture (le "mustang" et les blasons GT). Puis il fit rajouter des jantes noires en alu de type "American Racing".
http://cdn.stangtv.com/files/2011/03/04 ... ustang.jpg
video
http://www.dailymotion.com/video/xeaces ... RpvcG9VXyo
un autre Mustang de LEGENDE
MAIS C'EST UNE AUTRE HISTOIRE
Merci sasa heu celle de Steve elle est ou tu merites une... bullitt ...en plein frond
La course-poursuite
Réplique la Ford Mustang GT Fastback de 1968
Cette scène fait désormais partie des classiques du cinéma américain. Elle constitue la première course-poursuite en voiture digne de ce nom (Dodge Charger R/T '68 et Ford Mustang Fastback GT390 de 1968, debadgée par Carroll Shelby à la demande de Steve McQueen) de l'histoire du cinéma ; elle parvient à se démarquer de celles qui l'ont suivie par un réalisme saisissant grâce à un positionnement judicieux des angles de vue.
Le lieutenant Bullitt se rend compte qu'il est suivi par une autre voiture alors qu'il mène son enquête dans San Francisco. On pourrait donc s'attendre à ce qu'il joue le rôle du poursuivi dans la scène de course-poursuite qui va suivre, mais c'est tout le contraire qui se produit. Bullitt, malin, parvient à échanger les rôles et c'est désormais lui qui traque les deux tueurs à gage dans une course-poursuite qui dure près de dix minutes et qui pour la Charger se terminera dans une station-service pour y partir en fumée....
Le réalisateur parvient à intégrer le spectateur en lui faisant adopter le point de vue du pilote, à la manière d'une vue subjective d'un jeu vidéo. À cela s'ajoute le travail sur le son : lors des plans embarqués, le bruit du moteur de la Dodge (sourd et mat) et celui de la Mustang (pétaradant et plus aigu) sont sensiblement différents, ce qui produit deux ambiances distinctes à l'intérieur de chaque engin. La scène gagne donc un certain cachet de réalisme que l'on a du mal à retrouver dans des scènes de courses-poursuites plus modernes. Les plans extérieurs aux deux voitures sont relativement larges, ce qui permet de mieux appréhender l'ampleur de l'action : les virages qui font crisser les pneus, les sauts dans les pentes des rues de San Francisco, les dépassements tôle contre tôle sur l'autoroute, rien n'est truqué mais contrairement à la croyance populaire, ce n'est pas Steve McQueen seulement qui conduit lors du tournage de cette scène (les compagnies d'assurance ont catégoriquement refusé), mais aussi Bud Ekins qui lui même fait le saut à moto dans la grande évasion1.
La scène est émaillée de faux-raccords : on peut voir que la même scène est repassée plusieurs fois (le moment où ils doublent une Coccinelle verte dans une descente), mais dans des plans différents. Par ailleurs, le nombre d'enjoliveurs de la Dodge varie de façon curieuse : 4 au début, puis 3 puis 2 (après les pertes consécutives d'un enjoliveur au cours de virages serrés dans les rues de San Francisco) puis de nouveau 3 et enfin 4 lorsque la Dodge va percuter la station-service.
Cependant les paysages connus défilent en arrière-plan d'une façon hallucinante : quartiers de Potrero Hills au début de la course, puis les 2 bolides s'envolent dans les rues de Russian Hills et Marina District, puis des lieux complêtement à l'opposé de Frisco alternent, créant une ambiance surréaliste; et on reconnait au passage, silhouettés sur la baie de San Francisco, l'île d'Alcatraz, et la célèbre Coit Tower près de l'église St-Pierre & St-Paul...
Contrairement aux scènes de poursuite comme celles de Duel (Steven Spielberg, 1971) ou des Blues Brothers (John Landis, 1980) qui utilisent des voitures familiales,(Plymouth Valiant, Dodge Monaco) la Ford Mustang Fastback GT '68 (V8 de 390 ci, immatriculée JJZ 109) de Bullitt et la Dodge Charger R/T 1968 (V8 440 ci, soit 7,2 litres, immatriculée RDR 838) des tueurs sont de vrais bolides.
On notera également l'usage très judicieux de la musique de Lalo Schifrin. D'abord répétitive et se tendant à la manière d'un ressort avec des pompes de sections de cuivre de plus en plus entêtantes, obsédantes, dès la mise en train des futurs poursuivants, elle se fait feulement quand l'inversion se produit et que de gibier McQueen se fait chasseur, ce dans le célébrissime plan de rétroviseur où la Mustang apparait comme fondue au ciel, mélange d'élégance et de menace. Puis, une fois que les deux tueurs ont aperçu leur proie postée désormais sur leurs talons et qu'ils engagent leur fuite faisant hurler pneumatiques et moteur, la bande son laisse toute la place aux rageurs bruits mécaniques des deux bolides, immiscent juste quelques bribes de trafic quand les deux véhicules manquent se heurter aux autres usagers.
1968 Mustang 390 GT Bullit
Mais comment cette voiture, est-elle entrée dans l'histoire ? Tout est parti en fait d'une colère de Steve McQueen, qui était aussi le producteur du film Bullit .
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un autre Mustang de LEGENDE
MAIS C'EST UNE AUTRE HISTOIRE
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la-loutre
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SASOUKY74 a écrit:
Xaneaze a écrit:
Sublime Mustang !! Gravé dans l inconscient collectif de chqua passionné d'auto !
Cpendant, tu zappes la période 80's mais y a aussi celle des 90's
Cpendant, tu zappes la période 80's mais y a aussi celle des 90's
Beurk
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la-loutre
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SASOUKY74 a écrit:
Club Mustang France
New generation
Old generation
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la-loutre
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SASOUKY74 a écrit:
Beurk Beurk
Pour moi ce sera un Fast-Back ou rien
Par contre sans la grand-mère
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la-loutre
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Dark a écrit:
PAR CHRIS THX
Bon, on ne presente plus, tout le monde connait..
Le film,
et puis d'autre prise sur la toile des rue de San francisco,
Autoart 1/18
Une Mustang un peu oublier conduite par le Maginal, notre Bebel national (je fais des rimes)
Bon, on ne presente plus, tout le monde connait..
Le film,
et puis d'autre prise sur la toile des rue de San francisco,
Autoart 1/18
Une Mustang un peu oublier conduite par le Maginal, notre Bebel national (je fais des rimes)
Dark a écrit:
Chris06 a écrit:
si c'est 2 T c'est une Audi ...(elle est moyenne) merci Thierry
Bullitt est un film américain réalisé par Peter Yates, sorti en 1968.
Bullitt est adapté d'un roman de Robert L. Pike,
Source Wikipedia
Bullitt prends deux T….enfin je crois
l'Audi TT deux
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Antoine
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- Inscription: Sam 10 Déc 2011 14:51
- Localisation: Provence Alpes Côte d'Azur
Mais quel est ce mal étrange qui frappa tous les constructeurs automobiles dans les années 80 jusqu'au milieu des années 90 ?
Antoine. L'homme est la pièce rapportée de la Nature : il passe son temps à mesurer...
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